Lorsque le Conseil Général du Cher devient le temple de la mauvaise foi, et sa majorité la chevalerie du fiel. Ainsi :
Le Maire de Vierzon déforme les propos d'un spécialiste des TELECOMs auprès du Premier Ministre, alors qu'il n'était pas présent à cette réunion. J'ai participé à cette table ronde au cours de laquelle la présentation du Programme National Très Haut Débit par le directeur « Economie Numérique » du Commissariat Général à L’Investissement, a salué le dossier que j'ai présenté au nom de la ville de Bourges, et a fustigé le plan « Internet Pour Tous » présenté par le Conseil Général du Cher. Si le Haut Débit Hertzien en moyenne fréquence (2G/3G/4G) en situation de mobilité peut avoir des applications pratiques, il a été clairement démontré que le raccordement des abonnés sédentaires par voie hertzienne haute fréquence (tel que le plan internet pour tous) était une impasse technologique.
Ceci confirme une seconde fois, la justesse du choix de la Ville de Bourges de ne pas participer à un plan, obsolète avant même sa mise en exploitation.
Messieurs GALUT et RAFESTHAIN battent en retraite sur la forme devant la mobilisation symbolique des APEL, OGEC, représentant du diocèse et de citoyens que j'avais personnellement mobilisés, prétextant que le rapport de suppression de la dotation aux investissements des Collèges de l'enseignement libre "Falloux" n'était qu'une éventualité et non une décision.
Ceci confirme une énième fois que les effets de manche des idéologues déguisés en "laïcs libéraux de la 25ème heure" ne doivent pas atténuer la détermination au fond des véritables défenseurs de la tolérance et de l'égalité des droits dont je suis. Je mets donc en garde les représentants de l'enseignement libre... La mauvaise foi, c'est reculer pour mieux sauter !
Quant à mon concurrent aux élections cantonales, son silence sur tous ces dossiers fût assourdissant. A propos, Vice-Président en charge des affaires économiques, ça sert à quoi au Conseil Général ? En tout cas, si ça c'est travailler, alors je préfère m'agiter. Au moins, ça sert à faire avancer (ou reculer lorsqu'il y a danger) les choses de la vie.