JEAN-BERNARD, TU N'AVAIS PAS LE DROIT DE NOUS QUITTER. JE SUIS KO !
Je ne te connaissais que depuis la campagne de 2008 mais j'ai immédiatement reconnu en toi la vraie générosité, la passion ardente des autres, l'effacement personnel devant l'oeuvre collective.
Je n'arrive pas à croire que je ne vais plus blaguer avec toi le lundi matin au Bureau Municipal, je ne fais pas à l'idée que je ne vais plus pouvoir te questionner sur l'accessibilité de tes protégés et sur les besoins des habitants d'Asnières, je n'imagine pas ton absence de notre équipe.
Je pense très fort à ta famille.
JB, in memoriam.